Ça sentait le gingembre frais et le soja grillé dans la petite échoppe de Kyoto. C’est là que j’ai découvert ma première recette curry japonais véritablement addictive, servie dans un bol fumant avec un riz parfaitement nacré. De retour chez moi, j’ai passé des mois à reproduire ce goût onctueux et réconfortant – entre échecs cuisants (un curry trop sucré, un autre ressemblant à une soupe de cailloux) et petites victoires. Et croyez-moi, quand j’ai enfin trouvé l’équilibre entre douceur fruitée et profondeur umami, ce fut une révélation culinaire !
Cette recette curry japonais que je partage aujourd’hui n’est pas qu’un simple plat : c’est une porte ouverte sur les ruelles animées d’Osaka, un hug en bol pour les soirées pluvieuses. Ce qui la rend unique ? Son mélange malicieux de pomme râpée (oui, vous avez bien lu) et de miel noir, qui adoucit le piquant sans le masquer. Sans oublier le roux, cette pâte magique qui transforme un bouillon ordinaire en velouté voluptueux – le genre de texture qui fait fermer les yeux de plaisir à la première cuillère.
Contents
- 1 Ce dont vous aurez besoin
- 2 Les Ustensiles Indispensables
- 3 En Résumé : Votre Future Recette Curry Japonais Préférée
- 4 Liste des ingrédients et étapes de préparation
- 5 Recette curry japonais
- 6 Conservation & Réchauffage : Gardez Votre Recette Curry Japonais au Top
- 7 FAQ : Tout Savoir Sur Votre Recette Curry Japonais
- 8 Conclusion : Votre Aventure Culinaire en un Bol
Ce dont vous aurez besoin
Pour cette recette curry japonais qui coche toutes les cases (saveur, texture et effet waouh), on fait le tri entre l’essentiel et les bonus. D’abord, le non-négociable : les cubes de roux Golden Curry (en version douce ou spicy, selon votre tolérance au piquant !). Pas de stress si c’est introuvable – un mélange maison de curry Madras, farine et beurre fera très bien l’affaire. À vos listes :
• 500g de poulet fermier (cuisses pour du fondant, blanc pour une option plus légère)
• 1 oignon doux émincé façon brunoise – le secret d’un caramel naturel
• 1 pomme Fuji râpée (mon astuce perso pour une douceur discrète, héritée d’un vieux cuistot de Tokyo)
• 2 carottes coupées en « rangiri », cette technique japonaise qui maximise les surfaces de cuisson
Côté épices, le quartet gagnant : 1 c.à.c de garam masala (un clin d’œil à l’Inde), 1 c.à.s de miel noir, 2 gousses d’ail pressées et 1 cm de gingembre frais râpé. Pour les aventuriers, ajoutez 1 c.à.c de sauce miso – ça donne un umami à tomber !
Matos pro-tips : une cocotte en fonte pour mijoter lentement, et un coupe-légumes en éventail pour des pommes de terre qui absorbent mieux la sauce. Mais un faitout standard et un couteau bien aiguisé feront très bien l’affaire. Et si vous êtes du genre pressé, sachez que la version « express » avec des légumes pré-découpés marche aussi – je l’ai testée en mode week-end chargé !
Les Ustensiles Indispensables
Pour cette recette curry japonais qui joue sur les textures, mieux vaut miser sur les bons outils – sans tomber dans le matériel pro ! La star ? Une cocotte en fonte lourde (type Le Creuset) pour mijoter le curry à feu doux sans accrocher. Mon premier essai dans une casserole ordinaire ? Un fond cramé et des légumes trop fermes… Depuis, je jure par la fonte !
Le kit de base :
- Un couteau santoku bien aiguisé pour les légumes rangiri (la découpe en biseau typique)
- Une râpe microplane pour le gingembre et la pomme – crucial pour libérer leurs sucs
- Une cuillère en bois plate pour mélanger le roux sans faire de grumeaux
- Un bol doseur gradué (ou un simple verre à moutarde, comme ma grand-mère !)
Pour les perfectionnistes :
- Un coupe-légumes éventail pour des pommes de terre en forme de fleur (elles absorbent deux fois plus de sauce, testé !)
- Un chinois pour filtrer le bouillon si vous partez de zéro. Mais un passoire fine maille fait aussi l’affaire.
Psst… Pas de cocotte en fonte ? Utilisez un faitout épais + une feuille de cuisson entre le fond et les ingrédients pour éviter les brûlures. Et si vous n’avez pas le temps de découper en rangiri, des cubes classiques feront très bien le job – l’important, c’est le goût, pas l’insta food !
Le petit + : Un rice cooker pour un riz japonais parfaitement collant. Mais une casserole avec couvercle étanche et 20 min de patience donnent un résultat presque identique. D’ailleurs, ma version « flemme » utilise souvent du riz précuit… et personne n’y voit que du feu !
En Résumé : Votre Future Recette Curry Japonais Préférée
Imaginez un plat qui combine le réconfort d’un Sunday roast britannique et la complexité umami d’un bouillon ramen – voilà ce qu’offre cette recette curry japonais ! Au programme : un poulet (ou tofu pour les végés) mijoté dans une sauce veloutée au caramel de légumes, relevé par des notes fruitées de pomme et de miel. Le tout servi sur un lit de riz japonais collant, ce petit grain qui boit la sauce comme une éponge.
Pourquoi craquer ?
→ Prêt en 35 min chrono (dont 20 de mijotage – l’idéal pour plier une machine ou scroller TikTok)
→ Adaptable sans gluten (optez pour un roux maison sans blé)
→ Meal prep friendly (se congèle 3 mois sans pleurer en décongelant)
Mais le vrai secret, c’est son kakushi aji – ces « saveurs cachées » que les chefs nippons cultivent comme un art. Ici, le miso apporte une profondeur salée, tandis qu’une touche de chocolat noir (si, si !) équilibre l’acidité des tomates. Perso, j’adore la version au porc effiloché… mais chut, on garde des surprises pour les étapes !
Le combo gagnant :
- Réconfort (la sauce enrobe chaque ingrédient comme un plaid douillet)
- Équilibre (sucré/salé/piquant dosé au millimètre)
- Flexibilité (végé, vegan, sans gluten : tout est possible)
Et le must ? Les restes ont encore plus de goût le lendemain. Parfait pour vos lunchbox du bureau – vos collègues vont jalouxer grave. 😉
Liste des ingrédients et étapes de préparation
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Recette curry japonais
- Total Time: 50 minutes
- Yield: 4 personnes
Ingredients
Base du Curry
2 cubes de roux Golden Curry (type S&B, version mild pour les palais sensibles – ou hot pour les oseurs)
800 ml de bouillon de poulet (fait maison pour les puristes, ou en cube bio. Version végé : bouillon de légumes + 1 c.à.s de miso)
1 oignon doux émincé en lamelles fines (le secret d’un caramel naturel, merci les chefs de Kyoto !)
1 pomme Fuji râpée (avec la peau pour plus de fibres ! Substitut : 2 c.à.s de compote non sucrée)
1 c.à.s de miel (vegan swap : sirop d’érable ou sucre de coco)
Protéines & Légumes
500 g de poulet fermier en morceaux (cuisses pour du moelleux, ou blanc pour + léger. Option végé : 300 g de tofu ferme pré-grillé)
2 carottes coupées en rangiri (technique japonaise en biseau – ou en rondelles pour les pressés)
2 pommes de terre type Yukon Gold, en cubes de 3 cm (peau lavée, on garde les nutriments !)
100 g de petits pois surgelés (ou edamame pour un twist printanier)
Upgrade Optionnel
1 c.à.c de sauce Worcestershire (le secret umami des izakayas. Sans gluten : sauce tamari)
1 carreau de chocolat noir 70% (oui, sérieux ! Ajout post-cuisson pour équilibrer l’acidité)
Gingembre frais râpé (1 cm, mais doublez si vous aimez le piquant qui réveille)
Substitutions Malines
Pas de roux Golden Curry ? Mélangez 2 c.à.s de curry Madras + 1 c.à.s de farine + 1 c.à.s de beurre (ou d’huile pour vegan)
Allergie aux pommes de terre : patate douce ou potimarron, coupés en cubes
En manque de temps : légumes surgelés « pour pot-au-feu » (mais la texture sera moins croquante)
Instructions
Étape 1 : Préparez les Légumes (15 min)
- Émincez l’oignon en brunoise fine – cette coupe permet un caramel uniforme. Astuce speed : utilisez une mandoline si les larmes vous guettent !
- Taillez carottes et pommes de terre en rangiri : coupez en diagonale à 45°, tournez d’1/4 et répétez. Résultat ? Des morceaux qui captent mieux la sauce. Option flemme : cubes classiques, on ne jugera pas !
Étape 2 : Démarrez la Cuisson (20 min)
- Dans votre cocotte en fonte, faites revenir l’oignon à feu moyen avec 1 c.à.s d’huile neutre. On cherche un nappage caramel (pas brun !), environ 8 min. Senteur repère : quand ça sent les churros à la fête foraine, c’est bon !
- Ajoutez poulet (ou tofu) et dorez 5 min en remuant. Psst… Pour une version végé, grillez le tofu à part pour plus de texture.
Étape 3 : Le Bouillon Magique (25 min)
- Versez le bouillon, pomme râpée, miel, et gingembre. Portez à frémissements.
- Incorporez légumes et laissez mijoter 15 min à couvert. Test de cuisson : une fourchette traverse la carotte sans résistance.
Étape 4 : Le Roux, Cœur de la Recette Curry Japonais (5 min)
- Cassez les cubes de roux dans un bol. Prélevez 2 louches de bouillon et délayez-les pour obtenir une pâte lisse.
- Incorporez au curry en remuant vigoureusement avec une cuillère en bois plate. Pro-tip : coupez le feu pour éviter les grumeaux ! La sauce épaissit en 2 min top chrono.
Étape 5 : Final Touches (3 min)
- Ajoutez petits pois et chocolat noir (optionnel mais oh combien recommandé !). Mélangez délicatement.
- Goûtez et ajustez : un filet de sauce soja si besoin de sel, une pincée de piment si vous kiffez le kick.
Service & Astuces
Servez sur riz japonais légèrement compressé dans un bol (tradition oblige).
Upgrade instagrammable : disposez les légumes en arc-en-ciel, topping de graines de sésame grillées.
Meal prep : conservez 4 jours au frigo dans des bocaux hermétiques. Congelez les portions excédentaires avec un film alimentaire collé à la surface pour éviter les brûlures de congélation.
- Prep Time: 15 minutes
- Cook Time: 35 minutes
- Category: Plat Principal
- Method: Cuisinière
- Cuisine: Japonaise
- Diet: Gluten Free
Nutrition
- Serving Size: 1 bol
- Calories: 520 kcal
- Sugar: 12 g
- Sodium: 890 mg
- Fat: 18 g
- Saturated Fat: 5 g
- Carbohydrates: 62 g
- Fiber: 6 g
- Protein: 28 g
- Cholesterol: 75 mg
Keywords: recette curry japonais
Conservation & Réchauffage : Gardez Votre Recette Curry Japonais au Top
Vous avez des restes de cette recette curry japonais ? Bonne nouvelle : ses saveurs s’intensifient au frigo !
Conservation optimale :
- Au réfrigérateur : Dans un bocal hermétique, séparez riz et curry. Se garde 4 jours – le roux peut épaissir, ajoutez 1 cuillère d’eau avant réchauffe.
- Au congélateur : Versez le curry (sans riz) dans des sacs sous-vide. Congelez 3 mois. Mon astuce : Écrivez la date avec un feutre alimentaire… parce que la mémoire, ça flanche !
Pour réchauffer comme un pro :
- Au micro-ondes : 2 min à 600W, couvert d’un film percé. Ajoutez 1 c.à.c d’eau pour relancer l’onctuosité.
- À la casserole : Feu moyen avec un trait de bouillon. Fouettez pour réémulsionner la sauce – ça évite le côté « caoutchouteux ».
- Version croustillante (pour le poulet katsu) : Four à 180°C 10 min sur grille. Le secret ? Un pinceau d’huile de sésame avant enfournage.
Psst… Évitez le congélateur si vous avez mis des pommes de terre – elles deviennent farineuses. Et si votre curry semble trop épais après décongélation, un filet de lait de coco le sauvera sans altérer le goût.

FAQ : Tout Savoir Sur Votre Recette Curry Japonais
Qui y a-t-il dans le curry japonais ?
La base magique ? Un roux (mélange d’épices, farine et graisse) + bouillon mijoté. Les stars du placard :
- Oignons caramélisés
- Carottes/pommes de terre en rangiri
- Protéines (poulet, porc, tofu)
- Épices signature : curry Madras, garam masala
- Kakushi aji (« saveurs cachées ») : pomme râpée, miel, sauce Worcestershire
Substituts courants : patate douce pour les pommes de terre, sirop d’érable pour le miel.
De quoi est composé le curry japonais ?
C’est un savant équilibre entre :
- Épices torréfiées (cumin, coriandre, curcuma)
- Liants : farine + beurre ou huile dans le roux
- Umami boosters : sauce soja, miso, ou dashi
- Sucres naturels (pomme, oignon) contrebalançant l’amertume
Fun fact : Les versions instantanées (type Golden Curry) contiennent souvent de la poudre de cacao – d’où leur profondeur unique !
Qu’est-ce qui rend le curry japonais si bon ?
Trois mots : équilibre, onctuosité, réconfort. Le roux crée une texture veloutée quasi addictive, tandis que le kakushi aji (merci la pomme !) apporte une complexité qui intrigue les papilles. Et avouons-le : ce plat a le génie de goûter encore mieux réchauffé – les épices ont le temps de « se marier ».
Mon anecdote : Un chef de Fukuoka m’a confié que ajouter un glaçon en fin de cuisson rend la sauce plus brillante. Testé, validé !
Comment puis-je manger du curry japonais ?
- Traditionnel : Sur un lit de riz court japonais, avec des fukujinzuke (pickles rouges croquants).
- Street food style : En sauce pour tremper des katsu sando (sandwichs tonkatsu).
- Modern twist : En accompagnement de udon ou en garniture de korokke (croquettes).
Pro-tip : Servez dans un bol évasé pour que le riz absorbe la sauce par le bas. Et n’oubliez pas la cuillère en bois – ça change l’expérience !
Conclusion : Votre Aventure Culinaire en un Bol
Quand je repense à ma première recette curry japonais ratée (celui qui ressemblait à de la boue épicée, oui), je réalise à quel point ce plat m’a appris la patience… et l’humilité ! Mais aujourd’hui, grâce à ces étapes testées et retestées, vous tenez la version ultime – celle qui transforme un simple mijoté en voyage sensoriel.
Ce qui rend ce curry si spécial ? Son paradoxe douceur-puissance, comme un samouraï en cuisine : des légumes tendres sous une sauce audacieuse, le tout équilibré par ces kakushi aji (merci la pomme râpée !) qui titillent les papilles sans les agresser. Et le meilleur ? Aucun besoin de devenir un maître sushi pour le réussir. Même mes neveux de 10 ans y arrivent – preuve à l’appui avec leurs vidéos TikTok !
Pourquoi adopter cette recette :
- Elle s’adapte à vos restes (ces carottes flétries au frigo ? Parfaites ici).
- Elle impressionne sans effort (dîner chic ou pyjama-party, ça marche à tous les coups).
- Elle raconte une histoire (chaque cuillère évoque les yatai de Fukuoka ou les ruelles de Kyoto).
Un conseil d’amie : doublez les quantités. Parce qu’entre les lunchbox, les dîners improvisés et les voisins curieux, il n’en restera pas une miette. Et si jamais vous oubliez le roux ou brûlez l’oignon (ça arrive aux meilleurs), rappelez-vous : même au Japon, le premier curry de personne n’était parfait.
Alors, sortez cette cocotte, faites chanter les épices, et laissez le umami faire son œuvre. Votre futur vous-même, attablé devant un bol fumant, vous remerciera. Et qui sait ? Peut-être que cette recette deviendra, comme pour moi, votre madeleine de Proust version nippone…